Inutile de demander quelle est la couleur préférée d’Edith Fidler. Sur les étagères de son atelier, les pots, vases et figurines s’alignent tout de bleu décorés. Est-ce à cause de son enfance passée aux Açores ?
À moins que ce ne soit à cause de ces années où elle vécut à Vallauris. Qu’importe. Aujourd’hui, ses céramiques ont la pureté des ciels du Vaucluse et l’intensité d’une vie riche de sources d’inspiration, de rencontres.
V.F- Le Figaro Magazine, 16 août 2008